Frissons d'Halloween : renouer avec la nature au Jardin botanique

À compter du 1er octobre prochain, les amateurs d'histoires loufoques seront comblés au Jardin botanique de Montréal avec la nouvelle exposition Frissons d'Halloween, dont la mission est de reconnecter les gens avec leur environnement.

Frissons d'Halloween : renouer avec la nature au Jardin botanique
Les enfants auront la chance d'apprendre sur la famille des cucurbitacées par le biais d'activités ludiques. Lola Meunier / Groupe CNW/ Espace pour la vie

Par Mia Gagné Vincent

Espace pour la vie invite les Montréalais à retomber en enfance du 1er au 31 octobre en découvrant différents univers fantastiques. Au menu : atelier de potions, chasse aux ensorcelés et concours de décoration de citrouille, sans oublier la présence de Frisson l'écureuil, personnage de livre emblématique créé par Mélanie Watt. Les visiteurs auront comme mission d'aider l'Ensorceleur Kalbacius à retourner dans son monde avant le 31 octobre.

Découvrir le monde végétal

Lorsqu'on lui parle de Frissons d'Halloween, Annabelle Mimouni a de la difficulté à contenir son enthousiasme. L'agente de programmes éducatifs au Jardin botanique précise que l'exposition sera très interactive et fera appel à l'imagination des visiteurs, en plus de leur faire découvrir le monde impressionnant des végétaux.

" Notre travail au Jardin botanique, c'est de reconnecter les gens avec la nature et […] avec le monde végétal, qui est un monde très inspirant ", explique-t-elle. Dans cette exposition, les différents univers s'articulent spécifiquement autour des cucurbitacées, une grande famille de plantes qui comprend notamment les courges et les citrouilles.

Miser sur la collaboration

Afin de libérer l'Ensorceleur Kalbacius, les visiteurs du Jardin botanique devront travailler dans un esprit de collaboration pour résoudre l'énigme. C'est la mission qu'Annabelle Mimouni s'est donnée avec cette exposition. Elle désire " apprendre aux citoyens à travailler ensemble, à se parler et à s'écouter ". " On essaie d'être au service du plaisir, mais aussi d'un intérêt rafraîchit et renouvelé pour le monde végétal ", conclut-elle.